La municipalité attribuera plus de subventions aux associations sportives qui déclarent des enfants « non binaires »

On atteint des sommets dans la folie furieuse impulsée par les gauchistes « Woke ». Et Rennes se fait la capitale de ce délire, avec une majorité gauchiste qui profite d’une timidité de son opposition de droite à réagir fermement. Ainsi, Le Télégramme nous apprend que la municipalité veut « simplifier » les attributions de subventions aux associations sportives…et qu’elle a révisé ses calculs…en pratiquant la discrimination woke.

« En ce qui concerne le critère des effectifs des pratiquants, la catégorie sexe a laissé place à une catégorie genre qui propose des cases « non-binaire majeur » et « non binaire mineur » en sus des traditionnelles « femme majeur », « femme mineur », « homme majeur » et « homme mineur ». Certains coefficients ont également été revus à la hausse permettant notamment d’attribuer des subventions plus conséquentes aux clubs qui inscriront des filles et des mineurs non binaire »

Traduction de tout ce baratin : les clubs qui déclareront des enfants « non binaires » bénéficieront de plus de subventions que ceux qui déclareront simplement des garçons ou des filles. Il s’agit donc d’une incitation à dire aux enfants de se déclarer « non binaire » et à leur rentrer dans le crâne qu’ils ne sont ni filles ni garçons dès leur plus tendre et innocente enfance. Monstrueux !

Voici ce que déclare le conseiller municipal délégué aux sports Frédéric Bourcier : « La non binarité est une réalité dans notre société, que est minoritaire, mais nous ne devons pas l’invisibiliser. Nous avons été interpellés par des représentants d’associations sur cette problématique, on sait qu’au niveau national, ça concerne environ 5 % de la population. Je vous propose d‘assumer dans la tranquillité cette discrimination positive sur des enfants. On ne fait pas ce choix par idéologie, on le fait par cohérence. Ça permettra aux structures de pouvoir mieux accueillir ces personnes. Il y aura adaptation des clubs en fonction de ce déclaratif. On se base globalement avec les clubs sur une relation de confiance. »

On a hâte que les habitants des quartiers populaires de Rennes, bien loin des cerveaux gauchistes des élus de la majorité, viennent rappeler fermement qu’il y a des garçons, des filles, c’est à dire deux genres, et rien d’autre, quoi qu’en disent quelques élus idéologiquement obsédés par les enfants et la sexualité. La droite molle de son côté, regarde ailleurs…

Enfin, on imagine déjà la course possible aux subventions publiques (c’est à dire à l’argent des contribuables) rendue possible par cette « discrimination positive.

Source : www.lesobservateurs.ch

 

Lire aussi notre Bulletin d’information : Les enfants « transgenres ».

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