Les prescriptions du djihad dans le Coran constituent la principale source de radicalisation. Face à cette réalité, la Confédération suisse a financé et diffusé le site www.knowislam.ch qui fait une promotion de l’islam à travers une présentation particulièrement tendancieuse du Coran.
Un commentaire de A. Abdelmajide
En premier lieu, nous sommes choqués par ce prosélytisme en faveur d’une religion particulière, alors qu’en Suisse, les autorités doivent faire preuve de neutralité religieuse. Le deuxième problème consiste à privilégier le Coran, par rapport aux autres livres sacrés, en affirmant : « Contrairement à toute l’histoire des Écritures saintes, le Coran est resté complètement inchangé dans sa formulation depuis sa révélation il y a quatorze siècles » (facebook.com/knowislam.ch). Cette affirmation est contraire à la vérité historique.
Le troisième problème concerne les manipulations du texte coranique, pour le présenter comme un livre qui reconnait le judaïsme et le christianisme. Le site affirme ceci : « Le verset 62 de la Sourate 2, qui est répété à plusieurs reprises dans le Coran, accorde le salut à tous ceux qui croient en Dieu, au Jugement dernier et agissent d’une manière juste dans la vie ». Cette affirmation est en totale contradiction avec la réalité. Le Coran condamne au feu de l’enfer les chrétiens et les juifs qui refusent de croire en Mahomet, comme le Messager qui clôt la révélation de Dieu. Le Coran est clair : « Les pires bêtes auprès d’Allah sont les mécréants qui refusent toujours de croire (en l’islam) » (Sourate 8:55). « De toute la création, ils sont les pires créatures » (Sourate 98 :6). Le Coran condamne l’amitié sincère envers eux (Sourate 5:51) et appelle à les combattre jusqu’à ce qu’ils se soumettent et acceptent de vivre dans l’humiliation, en conformité avec leur statut d’infériorité (Sourate 9:29).
Ce prosélytisme financé par la Confédération présente un danger certain pour les jeunes, qui risquent d’adhérer à l’islam en se basant sur une présentation falsifiée de cette religion.