Le MOSCI, depuis bientôt cinq ans, s’évertue à informer le public et les responsables politiques sur les dangers de la doctrine islamique. Si l’information est souvent bien accueillie par le public, il reste que les autorités préfèrent parfois pencher pour la censure et l’abus de pouvoir.
Suite au refus d’autoriser le MOSCI à tenir un stand sur la place publique à Fribourg en septembre 2009, celui-ci a recouru avec succès devant le Tribunal fédéral. Un arrêt qui bannit implicitement le concept de « diffamation des religions » du droit suisse alors que les autorités fribourgeoises avaient jugé, à tort, bon de l’appliquer. Ce concept liberticide est une création de l’Organisation de la Conférence islamique (regroupant 57 pays) visant à prohiber toute critique de l’islam.

La décision se basait abstraitement sur les objectifs du MOSCI et sur le fait que, lors d’un stand, des membres de cette organisation avaient été pris à parti par un fanatique, frustré de voir critiquée la place que la charia réserve aux femmes, et qui était devenu fou de rage en apprenant qu’une des personnes responsables dudit stand était un ex-musulman. Face à cette légitimation implicite de la violence islamiste, cette mise en question du droit à informer et à être informé sur la charia et l’islamisation et du droit même du MOSCI à exister, ce dernier se devait d’agir.

Pour plus d’informations contacter David Vaucher, Président du Mouvement suisse contre l’islamisation, auteur de « Vérités sur l’islam ». www.mosci.info ; info@mosci.info