Mes pensées les plus attristées aux familles des victimes de la barbarie islamiste partout dans le monde. Le terroriste islamiste ne s’est pas radicalisé, il est revenu aux fondamentaux de sa religion et n’a fait qu’appliquer fidèlement les injonctions coraniques.
Salem Ben Ammar
L’engeance terroriste est dans les versets coraniques et nulle part ailleurs qui appellent au combat contre les « mécréants ». En l’occultant on la banalise et en la banalisant on le fait prospérer jusqu’à ce qu’il ne devienne une véritable pandémie létale. Le terroriste ne s’est pas imprégné de la lecture du Capital, il a lu le Coran qui a le don de faire d’un voyou des cités une bombe humaine, un monstre d’inhumanité, un suicidaire qui fait de sa mort une arme de destruction massive.
Rarement une religion ou supposé telle, n’a exalté autant la destruction de soi et celle de la vie de l’autre comme chemin de la félicité en permettant gratifications et récompenses à ceux qui tuent et se font tuer pour sa cause (Sourate 3, verset 157). Faute de faire naître chez ses croyants des vocations humanistes et scientifiques, elle stimule chez eux les pulsions les plus mortifères, érigeant des Merah et des Ben Laden en héros tombé dans la voie d’Allah. « Allah a mis les combattants au-dessus des non combattants. » (Sourate An-Nisa, verset 95). Érigés au rang de martyrs. Ils ne sont pas morts dira le Coran, Ils sont plus que jamais prospères et vivants auprès d’Allah qui jouissent de ses bienfaits (Sourate Al-Imran, verset 169).
Gloire éternelle aux terroristes. Quant à leurs victimes, la justice d’Allah n’en a que faire surtout si elles sont des non-musulmanes. Elles auront subi la double-peine sur terre et dans l’au-delà. Allah ne compatit pas pour les « mécrus » et encore moins leur rendre justice. Elles n’ont eu que ce qu’elles méritent et n’échapperont pas au sort qu’il leur réserve.
Source : www.dreuz.info