L’heure est grave. Sous le couvert de la « santé sexuelle », une idéologie dangereuse s’infiltre presque de manière inaperçue dans nos maternelles et écoles et menace nos enfants. Futur CH a lancé une pétition à l’attention du Conseil fédéral et compte sur votre soutien.
Jugez par vous-même : comment vous sentiriez-vous s’il y avait, à l’école maternelle de votre fille, des espaces intimes où les enfants pourraient tranquillement se masturber et imiter, nus, l’acte sexuel des adultes ? Ou encore si une pédagogue sexuelle expliquait à votre fils de dix ans comment enfiler un préservatif ou ce à quoi il faut faire particulièrement attention lors de pénétrations anales ? Et que diriez-vous si l’on montrait à vos enfants en pleine puberté des films pornographiques parce que c’est soi-disant la seule façon de leur apprendre à distinguer la réalité de la fiction ? Si vous ne voulez pas que tout cela fasse partie de la normalité dans toutes les maternelles et écoles suisses dans quelques années, il est grand temps d’agir.

Le programme d’un lobby privé :

La fondation privée Santé Sexuelle Suisse (SSS), qui est financée par l’Office fédéral de la santé publique et qui confère de manière monopolistique des titres de spécialistes en pédagogie sexuelle, a créé au mois de mai une « Alliance pour l’éducation sexuelle » en Suisse, constituée de 40 organisations : parmi elles figurent aussi des organisations qui étaient jusqu’alors dignes de confiance, comme l’Association suisse des consultations parents-enfants ou le Syndicat des Enseignants Romands. Dans le cadre de cette alliance, toutes ces organisations s’engagent à promouvoir les standards OMS pour l’éducation sexuelle. Ce document scandaleux, qui sert déjà de document de référence officiel pour les cours d’éducation sexuelle en Romandie depuis l’automne dernier, est à la base de la sexualisation de nos enfants décrite ci-dessus.

Diffusé sous le nom d’une institution de l’ONU, ce document est en réalité un véritable torchon rédigé par la fondation SSS et ses organisations partenaires européennes, qui, sous l’égide du réseau International Planned Parenthood Federation, commercialisent de plus en plus la sexualité comme un bien de consommation bon marché. Motivé par des intérêts idéologiques, politiques et économiques, ce lobby entend inciter même les écoliers à satisfaire leurs désirs sexuels sans tabous ni limites et à multiplier ainsi le nombre de pathologies sexuelles.

« Pour en finir avec l’éducation sexuelle douteuse ! »

Bien que de nombreux experts européens en matière de pédagogie, de psychologie et de médecine mettent en garde contre cette idéologie destructrice de la « santé sexuelle », ils se heurtent à une résistance farouche. La fondation SSS et son gigantesque réseau sont déjà aux commandes de toutes les décisions étatiques et non étatiques. Il y a cependant une lueur d’espoir puisque le représentant du peuple tessinois Fabio Regazzi réclame, dans un postulat déposé au Conseil fédéral, une étude scientifique sur les thèses et les supports pédagogiques utilisés par la fondation SSS pour harceler sexuellement nos enfants et adolescents. Le Parlement a accepté ce postulat et le Conseil fédéral est prêt à commander un rapport. Il faudra néanmoins que les avis des experts critiques vis-à-vis de la fondation SSS soient également pris en considération dans ce rapport. Futur CH a lancé une pétition sur ce sujet, intitulée « Pour en finir avec l’éducation sexuelle douteuse ! » (voir pièce jointe). Dans cette pétition, nous demandons au conseiller fédéral Alain Berset de prendre également en compte les avis de spécialistes indépendants de la fondation Santé Sexuelle Suisse, qui, d’un point de vue scientifique, analysent d’un œil critique ses thèses et supports pédagogiques douteux. Saisissez cette chance avec nous et contribuez à mettre fin à cette éducation sexuelle douteuse en signant la pétition pour le bien de nos enfants et des familles !

Signez maintenant la pétition:

https://www.openpetition.eu/petition/online/pour-en-finir-avec-leducation-sexuelle-douteuse

Dominik Lusser