Amnesty Suisse vise spécifiquement notre pays et notre vote contre la dissimulation des visages dans son tweet, en utilisant pour cela Ahmed Shaheed, le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la liberté de religion. Il est musulman. Pour culpabiliser les Suisses, Amnesty utilise un fonctionnaire de l’ONU musulman, issu d’un pays où règne l’islam radical.

Comme à l’accoutumée, Amnesty Suisse cache le fait que le pays d’origine de ce «Rapporteur spécial de l’ONU» est non seulement musulman mais encore qu’il provient des Maldives, pays très intolérant à l’égard des religions autres que l’islam. On lit notamment sur Wikipedia que «La constitution elle-même définit la république des Maldives comme une république, où la religion musulmane joue un rôle fondamental puisqu’elle est religion d’État, la seule qui soit autorisée dans l’archipel. Tout autre culte est formellement interdit aux maldiviens, tandis qu’il est tout de même permis aux résidents étrangers de pratiquer leur religion s’ils le font à titre privé et n’encouragent pas les autochtones à y participer. Tout prosélytisme est sévèrement réprimé.» En clair, Amnesty Suisse fait parler un musulman, issu d’un pays très radical qui n’accepterait jamais la présence du christianisme, pour culpabiliser les Suisses tout en passant sous silence la christianophobie présente aux Maldives.

Enfin, Amnesty Suisse «oublie» de mentionner que l’apostasie est interdite dans l’islam et qu’elle s’accompagne de punitions extrêmes, voire de la mort. C’est donc cela le “combat pour les droits humains selon Amnesty Suisse. Cela n’empêche d’ailleurs pas l’ONU de placer un musulman comme responsable pour «la liberté de religion», musulman qui protégera en premier lieu sa religion. Et c’est cela le véritable scandale.

Source : www.lesobservateurs.ch