Lors de sa session d’hiver 2018, le Parlement a décidé d’étendre la norme pénale sur le racisme (article 261 bis du code pénal) au critère controversé et vague de l’orientation sexuelle. Des amendes ou des peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à trois ans pourraient ainsi être infligées. De graves restrictions de la liberté d’expression, de conscience et de religion sont prévisibles.
C’est pour cette raison que Futur CH soutient le référendum « Non à cette loi de censure ».
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