Une psychiatre basée à New York, la Dr Aruna Khilanani a déclaré à un auditoire de la Yale School of Medicine en avril qu’elle avait le fantasme de «décharger un revolver dans la tête de toute personne blanche qui se mettrait sur mon chemin, d’enterrer son corps et d’essuyer mes mains couvertes de sang tout en m’éloignant d’un pas léger, relativement sans culpabilité. Comme si j’avais fait une [énorme] faveur au monde.»

«Rien ne me met plus en colère qu’une personne blanche qui me dit de ne pas me mettre en colère, car ils n’ont pas encore vu ce que c’est que la vraie colère», a-t-elle dit, avant de parler de la façon dont elle a “systématiquement” coupé avec la plupart de ses anciens amis blancs “depuis environ cinq ans”.

«Les Blancs ont perdu la tête, et cela depuis longtemps … Les Blancs ont l’impression que nous les tyrannisons lorsque nous parlons de race», a-t-elle ajouté. «Ils pensent que nous devrions les remercier pour tout ce qu’ils ont fait pour nous.»

«Nous continuons à oublier que c’est une perte de temps de parler directement de la race», a poursuivi Mme Khilanani. «Nous demandons à un prédateur dément et violent qui se prend pour un saint ou un super-héros d’accepter ses responsabilités. Ça n’arrivera pas. Ils ont cinq trous dans le cerveau. C’est comme se taper la tête contre un mur de briques.»

Rappelons-nous que les fantasmes de cette psychiatre se sont déjà traduits en actes lorsqu’une jeune maman de 24 ans, aux Etats-Unis, a été abattue – d’une balle dans la tête tirée à bout portant par derrière – par une manifestante de Black Lives Matter après la mort de George Floyd. La manifestante noire n’avait pas supporté que la jeune femme blanche ait dit aux manifestants «All Lives Matter», c’est-à-dire toutes les vies comptent. Sa mort est passée inaperçue, étant inexploitable par les médias de propagande. A notre connaissance, aucun média subventionné n’en a parlé en Suisse romande.

Source : www.lesobservateurs.ch