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Nos thèmes actuels:
« Je suis une survivante de la Shoah » – Catherine Rübner
C’est en 2015, que je fais la connaissance de Catherine Rübner. Elle m’impressionne tout de suite par son esprit vif, son humour et sa facilité à lire l’hébreu dans le texte. Je n’ai aucune idée qu’elle est une survivante de la Shoah, jusqu’au jour où elle me parle de ses mémoires. Je remercie Catherine
de m’avoir ouvert son coeur et accordé, en toute simplicité, cet entretien sur un thème qu’il est interdit d’oublier.
« L’islamophobie » est un devoir moral !
Le 11 septembre 2017 j’ai eu l’occasion de participer à l’université de Fribourg au colloque « Hostilité envers les musulmans : société, médias, politique »1. D’emblée, les organisateurs ont précisé en quoi consiste l’islamophobie : « C’est la critique de l’islam, en tant que doctrine. Elle n’est pas permise si elle porte préjudice aux musulmans ». Avec cette formulation, la liberté d’expression devient pratiquement interdite dès qu’il s’agit de « critiquer l’islam ». Peut-on rester les bras croisés face à pareille énormité ? Certainement pas ! Aussi, le soir même du colloque j’ai écrit aux organisateurs, en leur faisant part de ma grande contrariété. Voici un extrait, légèrement édité, de ma lettre.
Mais où est passée la liberté d’opinion ? – Beatrice Gall
Le 17 septembre 2017 aurait dû avoir lieu la 8e Marche pour la Vie. Mais elle a été interdite. Cette interdiction, qui constitue une restriction à la liberté d’opinion et d’association, n’est pourtant pas la seule que l’on peut observer ces derniers temps. Le fait est que l’on constate de plus en plus fréquemment que cette liberté ne s’applique plus qu’à l’opinion « politiquement correcte ».